Il me fait plaisir de vous présenter ces 4 formations que j’ai mis sur pied. Je donne des conférences dans les écoles pour aider les jeunes et les enseignants à mieux comprendre des sujets qui nous concernent tous, le temps d’écran des enfants, par exemple . Mon objectif est de sortir des sentiers battus de l’éducation traditionnelle en offrant des solutions que vous pourrez appliquer à la maison, dans vos classes, etc.

Nos enfants et les écrans

Les écrans sont partout dans la vie de nos enfants. C’est parfois difficile de savoir où mettre les limites. Je donne cette conférence dans les écoles, mais aussi ailleurs, pour aider les parents et les éducateurs. L’objectif? Encadrer les jeunes sans créer de conflits. On va parler des faits importants : comment fixer des règles claires, quelles sont les lois, et comment guider un enfant plus techno que nous! Vous repartirez avec des solutions simples pour expliquer pourquoi le temps d’écran doit être limité. Tout ça en gardant l’harmonie à la maison.

Voir aussi: vidéo sur le temps d’écran

L’éducation en plein air

Bouger, créer et avoir droit à l’erreur : c’est comme ça que je vois l’école. C’est d’ailleurs pour cette raison que j’ai écrit Le primaire en plein air. Après plusieurs années à pratiquer l’enseignement en plein air, je suis convaincu que cette approche offre à la prochaine génération une expérience d’apprentissage riche et différente. Dans cette formation, je partage pourquoi la pédagogie en plein air est si bénéfique, un guide pour faciliter le démarrage des activités, des routines pour les longues périodes à l’extérieur, des méthodes d’évaluation hors classe, et de nombreuses fiches d’activités pédagogiques adaptées à différents niveaux.

Sans devoir ni leçons,
à la maison

Il y a douze ans, j’ai pris la décision de ne plus donner de devoirs à mes élèves. Pourquoi? Parce que je crois que les devoirs creusent les inégalités sociales. Certains parents ne peuvent tout simplement pas soutenir leurs enfants, ce qui renforce les écarts entre les élèves. Les forts deviennent plus forts et les plus faibles restent en difficulté. En plus, après une longue journée de classe, les enfants sont fatigués. Ils ont besoin de repos, pas de devoirs supplémentaires. Je pense aussi que ces devoirs ne reflètent pas toujours ce que les élèves ont réellement appris en classe. Parfois, c’est l’aide des parents ou d’Alloprof qui les fait réussir, et cela peut fausser notre compréhension de leurs progrès. Jetez un oeil à ma BD sur le sujet!

Évaluer mieux qu’avec des notes

Les notes et les examens traditionnels? Ça fait longtemps que je ne crois plus en leur efficacité. Dans cette formation, je propose une autre manière de voir l’évaluation. Trop souvent, on évalue pour des statistiques biaisées plutôt que pour des apprentissages réels. Les examens ministériels ne sont qu’une accumulation de stress pour les élèves et de correction pour les enseignants. Pire encore, ces évaluations sont loin d’être équitables d’une classe à l’autre. Je vous partage des idées concrètes pour évaluer autrement, en mettant l’accent sur ce qui compte vraiment : les compétences et le progrès de chaque élève, sans se limiter à une simple note.

Le jeu : un outil puissant d’apprentissage

Le jeu est un puissant outil d’apprentissage. Dans le règne animal, c’est en jouant que les petits développent les qualités et le connaissances dont ils auront besoin plus tard. On le voit bien chez nos jeunes enfants qui passent leurs journées à s’amuser. Puis, arrive le parcours primaire : tout d’un coup, apprendre, ça se passe assis sur une chaise devant des feuilles d’exercices. Qu’est-ce qui justifie ce changement soudain de mode d’apprentissage? Pas grand-chose, hormis que c’est un excellent moyen d’enseigner aux enfants comment performer dans un examen pour tout oublier ensuite. Personnellement, je préfère miser sur des apprentissage réels et durables : toucher, bouger, explorer, s’amuser.

Parce que le jeu, à tous les âges, reste le meilleur moyen d’apprendre.